AUJOURD'HUI 7 OCTOBRE GAZA

Aujourd'hui marque l'anniversaire du massacre de citoyens israéliens par le groupe armé Hamas.
Depuis cet épisode, un sentiment de vengeance de la part du gouvernement israélien a prévalu, ce qui a conduit - et conduit encore - à un massacre aveugle de la population palestinienne, équivalant à un génocide de facto.
L'horreur de ce massacre est visible par tous, et des mouvements pro-Gaza et anti-israéliens ont vu le jour dans différents pays du monde occidental, tandis que les gouvernements continuent d'être réticents à formaliser un arrêt décisif d'Israël, peut-être même armé.
Ce massacre trouve certainement ses racines dans le concept du sionisme à la fin du siècle dernier et l'installation subséquente du peuple juif sur la terre d'Israël, peuplée majoritairement de Palestiniens. Il ne faut pas oublier que les Juifs sont de religion juive, tandis que les Palestiniens sont de religion musulmane, et que depuis que le Coran - et donc l'Islam - existe, les relations entre les deux religions sont très mauvaises.
D'ailleurs, dans la Bible, le peuple d'Israël a mené d'épuisantes batailles contre les Philistins, qui étaient les Palestiniens de l'époque. Après la Shoah hitlérienne, le monde a estimé qu'il était temps pour les Juifs de retrouver leur "Terre promise". C'est ainsi qu'en 1948, l'État d'Israël a été proclamé, obligeant une partie de la population palestinienne à partir ailleurs. Dès avant la Seconde Guerre mondiale, et plus encore après 1948, les inimitiés entre les deux peuples se sont intensifiées, faisant prévaloir le concept de "deux peuples, deux États".
Israël a également dû affronter les pays musulmans de la région et construire un système de défense solide, qui s'est transformé au fil du temps en un système d'agression, entraînant une succession de combats et d'oppressions.
Le génocide actuel semble être une répétition du génocide de Jéricho, perpétré par le peuple juif avec le consentement divin pour occuper sa "Terre promise". À l'exception de la prostituée Raquele et de sa famille, tout le monde a été massacré à Jéricho : hommes, femmes, vieillards, enfants et même animaux, avec l'accord de Dieu Yahvé par l'intermédiaire de l'Arche d'Alliance.
À mon avis, le premier à écarter est ce fameux dieu unique, qui s'appelle Yahvé, Dieu et Allah - je l'appelle le dieu d'Abraham. Ce Dieu, malgré le message d'amour proclamé par Jésus, apparaît comme un dieu de la guerre, un peu comme l'ancien Mars, car les guerres entre les croyants de ces trois religions durent depuis des siècles. Qu'on ne me dise pas que seul le libre arbitre en est la cause principale.
Ne pointez donc pas du doigt les gens - en l'occurrence les Israéliens - mais ce dieu qui, soit dit en passant, n'existe pas. Et je m'en excuse auprès des croyants... mais j'espère qu'un jour vous pourrez l'accepter.
La divinité, c'est autre chose : le seul point commun acceptable est la création divine, mais certainement pas le comportement humain associé à ce dieu, avec son pouvoir de jugement, ses commandements, sa filiation, sa miséricorde, sa bienveillance, son pardon et bien d'autres choses encore.
L'expression de la divinité réside dans le mystère profond de la réalité que l'humanité tente de comprendre et d'élucider depuis la nuit des temps. Entre autres, ces religions modernes du dieu d'Abraham, tout en étant capables de décrire des qualités et des comportements divins très proches des humains, ne parviennent pas à dévoiler sa nature profonde, qui reste un mystère.
Pourrait-on un jour accepter la fusion de l'objet (la Création) et du sujet (le Créateur) ? Accepter qu'il n'y ait pas une seule vérité, mais qu'il puisse y en avoir plusieurs ? Accepter que la perfection universelle soit le fruit du hasard, et qu'elle n'atteigne que la limite de la perfection ?
Pourrions-nous un jour accepter que notre conscience soit une goutte d'eau dans l'océan de l'immatérialité et que nous devions nous résigner à l'existence du mystère universel ?

Une réponse

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

fr_FRFrançais

En savoir plus !

Démonstration du formulaire de contact

PRÉFACE

POURQUOI UNE NOUVELLE RELIGION

Il est vrai que beaucoup de nos contemporains se sont récemment détournés de la religion, principalement dans les pays où l'on ne peut pas parler de religion.
de l'Europe occidentale, et notamment en référence à la religion chrétienne qui a dominé l'Europe pendant des siècles. Cependant, cet éloignement ne semble pas total : certains doutes sur la nature de la vie et de l'univers subsistent. En
les effets, au plus profond de beaucoup d'individus, des questions se posent
sur la naissance de la vie, la dynamique de l'univers, la contrainte de la mort, la raison d'être de l'existence et la raison profonde pour laquelle nous vivons en tant qu'êtres humains.
Si une part croissante de la civilisation européenne occidentale se libère de la contrainte religieuse, il reste encore beaucoup à faire.
partie de la population de la planète qui est ardemment attachée
à une religion et n'accepte généralement pas l'athéisme
soit elle accuse cette société émancipée d'être matérialiste, spirituellement inférieure et incapable d'être compétitive
avec les textes sacrés. [...]